Survivre... Ce seul mot pouvait définir la vie des habitants de la planète depuis déjà près de deux décénis avec l'arrivé d'abobinations qui traversait la frontière de leur monde jusqu'à celui de l'homme. Des laquets du diable, l'incarnation même des légions infernales qui apportait chaos et carnage sur leur chemin.
Certains raconte qu’il y eu, autrefois, une guerre avec ces monstres mais pour ceux qui ont vus de leurs propres yeux les champ de bataille remplie de corp qui s’entassaient et qui se noyaient dans leur propre sang, ils savent que la vérité est qu’il n’y a jamais eu de grande guerre, qu’il n’y a jamais eu d’affront d’égal à égal avec les armées des ombres.
Il n’y eu que la mort…
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Quelque rayons d’une lumière fainte percèrent le brouillar de poussière et de cendre qui s’élevait dans le ciel, la faible luminessence dessinant alors, si l’on osait approcher, deux silouhette distinctes autour d’un bien piètre feux de camp, les quelques plantes et branches ayant pus être trouvé manquant en abondance dans le désert chaotique, oû justement, il y avait peu de temps, s’était produite l’explosion.
Ils étaient entouré d’un rocher qui formait une vaste grotte au milieu de l’océan de sable, les protégeant de la morsure douloureuse de la tempête contre leur peau et les quelquonques blessures qu’ils avaient gardé de leurs précédents affront contre les démons qui n’avaient cèsser de les poursuivre depuis déjà près d’une semaine.
Les yeux azures du jeune homme parcourirent le long des armes à feux qu’il tenait dans ses mains, scrutant chaque recoins des méchanismes des armes de guerres avant de les replacer d’un mouvement raide dans leurs gaines.
‘Ils sont inutiles… La tempête les a endommagé.’ Soupira t-il.
Il grogna, se prenant son bras gauche blesser, le mouvement soudain faisant fouetter la cape qu’il portait au hanches dans le courant d’air qui se faufillait à travers le roc, le voile rouge, tacher de sang séché par des jours de fuites et de combats dans le climat aride du désert.
Il étouffa sa douleur et tourna son regard vers la jeune femme qui traversait avec lui ce même périple. La jeune femme en question, s’avérait d’être sa propre sœur, qui elle, semblait par toute apparence s’en tiré beaucoup mieu que lui sur le plan des blessures. Il en était heureux de la voir indème, car il savait bien qu’elle était l’élément principale de leurs survie; elle possédait le don de voir à travers le temps et cela leur avait permit depuis le tout début d’échapper, bien que de justesse, à ceux qui les pourchassaient. Bien que la nature de ce pouvoir aurait pus l'inquièter en de circonstances différente, il était ravie que celui-ci c'est décider de se manifesté.
L’ouragan désertique continuait de faire rage sur les plaines, et il se leva une fois qu’il eu fini de se posé quelque bandages sur ses membres meutris avec les reste de sa veste en lambeau.
‘C’est à mon tour de prendre la garde… Tu devrait aller prendre du repos…’